S'aimer soi même suffissement

samedi 26 mars 2016

S'aimer soi même suffissement

   «Les roses fleurissent merveilleusement parce qu’elles n’essayent pas de se convertir en lotus. Et les lotus fleurissent merveilleusement parce qu’ils n’ont pas entendu d’histoires d’autres fleurs. Tout dans la nature fonctionne à merveille, en harmonie, parce que nul n’essaye d’entrer en compétition avec qui que ce soit d’autre, nul n’essaye de se convertir en qui que ce soit d’autre. Tout est comme il se doit.Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. Alors détends-toi. L’Existence a besoin de toi tel que tu es».
                                                                                                                              Osho


S’aimer à soi-même c'est un principe spirituel, un devoir éthique et un sentiment de bien-être psychologique fondamental pour vivre heureux. Nous devons avoir ce noble sentiment par  nous pour pouvoir confronter la méchanceté du monde chaque jour, faire preuve de courage pour défendre nous droits et démontrer la confiance que nous en avons sur notre dignité, nos qualités, nos compétences. L’auto-estime ou l'estime de soi  et s'aimer son synonymes.

La personne qui ne se connait pas, ne se reconnait pas en ses qualités, en ses talents et elle peut se sous-estimer. Comment s'aimer sans se connaitre? La ancienne prémisse socratique «Connais-toi toi-même» signale une urgence vitale toujours en vigueur. Prendre le temps pour faire sa propre connaissance s'avère indispensable pour apprendre à s'aimer. Depuis, on pourra prendre le temps pour faire la connaissance d'autres personnes et les aimer, ce que signifie apprendre à les apprécier. La connaissance et l'amour marchent ensembles.


Mieux se connaitre porte à mieux cerner nous besoins pour les combler. Une longue liste de penseurs ont essayé de donner réponse à «de quoi j'en besoin?» Maslow (1) distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait. Faites-vous attention pour identifier comment la société et ses systèmes, impliquant les organisations, vous freinent et vous font perdre votre droit d’être une unique heureuse personne épanouie.



Henderson (2)  par sa part parle de besoins fondamentaux humains et identifie à 14. Autres auteurs identifient 21, notamment Abdellah (1960). Salomé, Schutz, Berne, entre autres, mettent l’accent sur l'aspect psychologique y sociale (3).

En ce processus de connaissance, de prise de conscience sur notre «Je» il est logique de nous confronter face à nos limitations, nos faiblesses, nos vices. Nous pouvons mieux nous cerner en tant qu'un être unique. On peut bien spécifier nos aspects positifs ainsi que les négatifs. On s'explore et c’est ainsi qu'on peut s'accepter, se repenser et chercher à s'améliorer. Faire sa liste de vie est un outil aidant à ne pas négliger (4). On devient vérité sur soi-même. Cette honnêteté impactera sur nos relations interpersonnelles.

La perfection n'est pas de ce monde. On devient le mieux qu'on peut avec ce que la nature nous a donné et on fait son mieux sans pour autant devoir se sacrifier, s’infliger des souffrances. S'aimer mène à se respecter, à se traiter avec tendresse. La tolérance, la sympathie et la compréhension, proposition éthique faite par Edgar Morin en son Tome VI de La Méthode (5) débutent en soi même, en premier.

Un être humain qui s'aime, aime et respecte les autres aussi, parce qu'il sait  que telle comme je suis, il est, tel comme je ressens, il ressent, tel comme j'aime, je respecte, il aime et il respecte. L'amour nous rapproche en tout le bon et en tout le mauvais que peut-nous arriver. La dignité d'autres est la mienne aussi. Le genre humain se rendre compte  que tous sommes égales, que les différences sont minimes en relation à ce qui est l'essentiel. Tous avons une même nature, nature divine que nous permet de nous identifier comme fils et filles de Dieu et ainsi, nous avons le potentiel pour en devenir un.


Commettre des erreurs involontaires est normale pendant notre processus d’évolution. Si on s'aime, on ne s’arrêtera pas. Au contraire, on cherchera à mieux comprendre où s’était la faille, quelles autres mesures ou options se pressentent pour dresser la situation et de nouveaux pouvoirs personnelles apparaîtront pour nous dévoiler notre singularité.

Les «je devrais être» rigides imposés par soi-même ou par les autres disparaîtront pour donner passage au vrai «je suis»  maintenant avec la possibilité légitime d'en devenir et d'en faire différemment à quelqu'un d'autre. Ici, il faut savoir s'éloigner du système éducatif que produit en grand nombre de personnes qui pensent, sont et font en série. Il faut laisser d'être gris et chercher sa propre couleur en ce monde.
En s'acceptant à soi-même, il est plus facile d'accepter les autres. La paix commence pour soi-même avant de la disséminer allègrement vers les autres. Des gens heureuses ne peuvent pas donner autre chose qu'amour, paix, joie, bonté, justice et exiger en retourner le même comportement et en la même proportion qu'elles l'y donnent.

Fondé sur le texte de Dale Carnegie (6), je vous pressente la philosophie et la méthode qui a utilisé les États Unis et ses professionnels pour réussir: influencer positivement en les personnes.


Remerciez sincèrement les autresNe  critiquez pas, sauf si c'est pour porter quelque chose qui aidera à améliorerIntéressez-vous sincèrement pour les autres
Rappelez et appelez les gens par leur nomDéveloppez l’art perdu d'écouter attentivement les autresDeveloppez l'art de la communication sincere et efficace 
Traitez les personnes avec importance et respect parce que tous nous l'y sommes et nous y méritonsSouriezNe discutez pas
Affichez le respect par les opinions des autresAdmettez rapidement si vous avez commis une erreur pour remédier, éviter les conséquences et les préjudices le plus possible Utilisez de phrases amicales, sutout si vous devez aborder de sujets délicats
Parlez positivementParlez du bien d'autres personnes, essayez de voir les points positifs Essayez de voir les choses avec empathie
Montrez la sympathie pour les idées des autresLaissez que votre interlocuteur parle le plus et posez-lui des questions intéressantes sur luiEncouragez les autres à corriger leurs défauts, à devenir meilleurs 
Efforcez-vous de créer un climat positif dans votre maison, en le travail, en l'école, en la rueNe  essayez pas de changer la façon de penser de votre conjoint, collègue, ami (Respecter)Démontrez par votre exemple si vous souhaitez provoquer des changements positifs chez les gens
 Les personnes heureuses sont libres de pressions extérieures, des abus, de la peur de ne faire pas comme ceci ou comme cela. Elles ne se détestent pas pour n’exaucer pas les attentes extérieures ou la propre tyrannie intérieure. Ces personnes ne souhaitent plus simuler être quelqu'une d'autre. Elles se déterminent pour soi-même symbole de maturité, autodétermination, reconnaissance de sa valeur en soi et elles se sentent en plénitude, tus devoirs de l’Éducation.  
   


   

 «Aime-toi» parce que sans amour notre âme ne se nourrit pas. L'amour pour soi-même nous fait plus beaux et plus belles, au même temps que nous fait rebelles, révolutionnaires, créatures créatrices et innovatrices. La société n'a pas besoin de tout ceci pour grandir? Ce n'est pas tous ces qualificatifs d'objectifs de l'Éducation?


L'amour et l’Éducation nous donnent des ailles et nous apportent une nouvelle vision de la réalité. Par ce deux moyens, nous avons plus de connaissance et celle-ci nous empêche de nous tromper, de nous laisser exploiter ni d'être opprimé (7). 

Seulement quand on s’aime, on peut être en harmonie avec l'environnement et avec les autres. On se sent vraiment bien, on peut profiter de la vie et de communiquer avec le présent. Grâce à l'amour développé, l'estime de soi augmente et augmente l’amour et la reconnaissance envers ceux qui nous entourent. L'amour est toujours un stimulus positif dans les relations interpersonnelles. L’amour nous fait solide à face des épreuves et des injustices. Reconnaissantes de notre valeur intrinsèque, on donne et on exige d’égale à égale respect, justice, liberté.
    

Notes et webographie
(1) Abraham Maslow, psychologue américain, définit l'homme comme un tout présentant des aspects physiologiques (organisation du corps physiologique et biologique), psychologiques et sociologiques (sécurité, appartenance, reconnaissance) et spirituels (dépassement). Maslow détermine aussi une hiérarchie des besoins : la satisfaction des besoins physiologiques doit précéder toute tentative de satisfaction des besoins de protection (sécurité) ; lesquels doivent être satisfaits avant les besoins d'amour (appartenance), qui précédent les besoins d'estime de soi (reconnaissance) ; au sommet de la pyramide se trouvent les besoins spirituels (dépassement).Récupéré 25-03-16 http://papidoc.chic-cm.fr/573TabMaslow1.pdf

(2)  Virginia Henderson (1947) identifie quatorze besoins fondamentales humaines. Elle développe un modèle conceptuel en sciences humaines qui sert principalement aux soins infirmiers où souligne l'interdépendance entre les besoins et sa satisfaction. Généralement, la pyramide de Maslow et les quatorze besoin de Henderson s'appliquent ensembles. Récupéré 25-03-16 http://papidoc.chic-cm.fr/573MaslowBesoins.pdf

(3) Peiffer, Christophe .(2012 ). Les besoins humains. Récuperé 26-03-16 http://www.leblogdesrapportshumains.fr/wp-content/uploads/2012/08/Les-besoins-humains.pdf

(4) Mazelin, Flavia. (2012). Mes listes de vie. Récupéré 26-03-16http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Faites-votre-liste-de-vie 

(5) Edgar Morin Philosophe et sociologue, directeur de recherche émérite au CNRS et docteur honoris causa de plusieurs universités étrangères et c'est l'auteur d'une ouvre pluridisciplinaire abondamment commentée et traduite, dont l'ambitieuse Méthode, en six tomes, publiée au Seuil.Ici, un extrait de Tome VI L'Éthique. Recuperé 25-03-16 http://dev.gabrielperi.fr/IMG/article_PDF/article_a201.pdf

(6) Dale Carnagie a écrit au début du XX l'œuvre «Comment gagner amis et influencer en las personnes». Le livre exposé  un ensemble d' idées pour améliorer les relations humaines.Récuperé 26-03-16 https://mtcmadagascar.files.wordpress.com/2013/07/comment-se-faire-des-amis.pdf

(7) Paulo Freire est d'abord étudiant en droit, tout en étant intéressé par la philosophie et la psychologie du langage. Pis, Freire commence à travailler sur les problèmes d’éducation. Sur le plan philosophique, Freire est inspiré par la phénoménologie, l’existentialisme, le personnalisme chrétien et le marxisme humaniste. Son ouvre Pédagogie des opprimés, écrit en 1969, le situe en l’UNESCO en le poste de conseiller.Récupéré 25-03-16  http://bv.cdeacf.ca/documents/PDF/rayonalpha/mondealpha/ma15/ma15ijklmnopqr.pdf




Tous les droits réservés sur le texte ©, CECILIA RE, 2016. 



    

vendredi 11 mars 2016

Se souvenir pour respecter




      « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » 
                                      
                                                 Matthieu 22:39 

  
     Il y a de principes éthiques (1) qui sont classés comme «de base» reliés à une personne et à un groupe social. Parmi ceux-ci, nous pouvons nommer:

Principe d'autonomie: signifie que toute personne adulte et mentalement saine est morale (elle fait distinction entre le Bien et le Mal) dont a le droit de déterminer et de mener sa vie par lui - même, de la façon dont il le juge opportun, sans être privée de vivre une vie plaine et autodéterminée. Seule la personne se connait intimement donc c'est à elle de juger sur sa condition, sa situation, ses capacités, ses limites, sa puissance et ses potentialités à développer. Ce principe permet de faire des choix éclairés.

Principe d’égalité: stipule que tous les hommes sont égaux, que tous avons les mêmes droits et nous avons les mêmes obligations. Ainsi, nous conformons une famille humaine. L'axiome Kantien: «Ne fais pas aux autres ce que vous ne voulez pas que d'autres vous fassent» dit stricte réciprocité dans les relations humaines. Elle exige une façon de penser et de vivre. Il est opposé à la discrimination par la religion, la langue, le sexe, l’origine ethnique-cultural(2), l'orientation sexuelle, le handicap, l'âge, la race (3)

La discrimination a par objectif annuler et réduire le mérite, la jouissance, l’exercice de droits et de libertés fondamentales des personnes en les sphères  politique, économique, sociale et culturale.


Principe d’humanisation: précise que chaque être humain doit vivre, agir et promouvoir les valeurs humaines telles que la liberté, la conscience, le sens social ou la responsabilité. Ce principe nous  appelle à devenir de jour en jour plus humain, à devenir une personne, en nous éloignant de l'homme naturel (égoïste et orgueilleux) et animal (soumis 'a ses pulsions et instincts primaires).

Principe de solidarité: énonce que tout homme qui vit dans une société humaine, à l'obligation de rechercher le bien commun et d'être attentionné et serviable avec les besoins des autres. Il découle directement de la nature sociale de l'homme, donc ce principe s'apprend également que tous les autres antérieurement cités. 








La solidarité donne du sens et d'un but 'a l'humanité: elle est dirigée immédiatement au service des autres. «Chaque personne doit contribuer au bien commun en fonction de leurs moyens. Tout individu a le droit de recevoir des autres tout ce qu'il a besoin pour vivre et se développer et si pour quelques raisons, il ne peut pas les acquérir par soi-même» exprime ce magnanime principe. Ce droit implique un devoir que, selon le cas, se tourne vers les parents, la famille, les associations intermédiaires et enfin, 'a l'État. 

Ainsi, une personne démunie, qui a un besoin insatisfait lequel ne peut pas satisfaire par une limitation quelconque, un entrave 'a sa volonté ou par manque de ressources personnelles, a le droit d’être assistée par les organisations de l’État. Si la personne est privée de cet aide, c’est le système qu’en profite de la personne.

Ce principe de solidarité contient le devoir de faire justice, de participation, de liberté et d'équité. Chaque personne contribue avec sa capacité réelle par son travail, sa connaissance, le respect des normes civiles, sa contribution économique par le biais des impôts, par la recherche et la promotion du bien dirigé vers la nature, l'environnement, ainsi que vers autrui. Il en comprend non seulement l'obligation de répondre aux besoins de tous sinon qu'implique le devoir d’améliorer les conditions de vie de toute la société.

Le principe de subsidiarité essaye d'équilibrer les relations inégales personne-personne, personne-société, personne et État. Évidemment, en ces stratifications il y a différences des capacités, des compétences et un besoin de complémentarité. Ce principe prône pour une intervention complémentaire et auxiliaire entre les organisations sociales à faveur de l'autonomie des personnes et de l'autosuffisance en forme ascendante.


L'État, en ultime instance, doit pourvoyeur les conditions permanentes pour la réalisation personnelle ce qu'implique donner aux citoyens des espaces de liberté, d'indépendance, de participation et d'initiative. Également, l'État doit leurs accorder la capacité pour raisonner, juger, évaluer, analyser, comparer, critiquer, entre autres opérations intellectuelles nécessaires 'a toute évolution sociale.

L’État et les organisations intermédiaires accordent à l'homme la faculté d'être son propre agente de développement, ainsi qu'un agent de changement citoyen pour faire progresser, en définitive, le collectif nationale. Reconnait la liberté, la dignité et la responsabilité individuelle, sans oublier sa propre responsabilité vers les citoyens.  
Logiquement, la personne est soutenue et reconnue en tous ses droits par l'État et par tout groupe social. L'homme ne devrait pas souffert d’atrophie ni d'esclavage par la société ni par ses systèmes. 

Tout État, système ou groupe totalitaire niera ce principe et essayera de maintenir son hégémonie en annulant les compétences citoyennes individuelles pour décider par soi-même. 

Ces groupes se visionnent comme des autorités médiévales qui ont le pouvoir pour commander, penser, décider et faire en toute impunité  asymétriquement (protégés par ses relations macabres fondées en anciennes racines sociales ) et toutes les autres personnes membres de la société doivent les obéir sans se poser aucun questionnement. Ces groupes en font selon sa tête sans  prêter aucune oreille. Ils réalisent un faux diagnostique situationnel, c'est-'a-dire que délibérément tergiversent la réalité parce que celle-ci les déplaise et elle joue à l'encontre de leurs intérêts.

Cette attitude-ci méprise la dignité personnelle et diminue ou annule les  droits civiles, les droits humains et suffoque la voix citoyenne. Les subalternes tombent sur l'oppression et le discrédit, entre autres stratégies propres du désamour. C’est ce désamour qui crée une société des aveugles et  sourdes qui s’érigent pour diriger à population qui doit se conduire mouette.

L’égoïsme, la jalousie, la peur, l'orgueil sont  la mère de l'immoralité. Celle-ci empêche l'avancent réel de la société. Ainsi, la misère (matérielle, spirituelle, culturelle, humaine), l’exclusion des personnes de systèmes 'a mains d'individus, l'ignorance, la maladie, la toxicomanie, la discrimination y résultent, le tout mis sous silence de la population, la que devienne vulnérable, incarne l’angoisse, l'anxiété, la frustration par les grand nombre d'injustes impositions. 

Le diagnostique réel matériel, économique, sociale, culturale et de santé de base sont essentielles pour déterminer s'il y a ou pas jouissance des  droits humains en la vie quotidienne 
(4).

Tous ces principes fondent 'a la démocratie et sont pressentes dans le Droit et dans l'Éthique sociale avec retombée sur la Déontologie professionnelle. Ils s’opposent 'a l'aristocratie, au despotisme autoritaire, 'a la subordination et 'a l'oppression pour la part de groupes élitistes qui détriment le bien individuel, le bien commun sociale et la culture de la participation citoyenne et individuelle en chaque situation que la concerne (Principe de consentement). 

Tous les hommes ont de principes pour se guider mais ceux-ci ne sont pas toujours éthiques. Il est bon par chacun entre nous de méditer autour de tout ceci et faire une prise de conscience, en essayant d’identifier si nous sommes éthiques ou immoraux et ses conséquences directes sur notre vie, sur la d’autrui et sur la société. 

Il semble facile d'exprimer quelques principes éthiques courants : «respecter tous les êtres humains», «ne pas utiliser la violence», «aider les personnes dans le besoin» mais il n'est pas facile de se comporter en suivant ce discours.


Par cet examen de conscience individuel et collectif, chaque être humain et chaque société est capable de déterminer ce qui est nuisible pour lui et pour la société.

En conséquence, il est possible d'éviter tout que soit immoral, c'est-'a-dire tout ce qui va à l'encontre de no malice, de la charité, de la bienfaisance, de la justice, de l'autonomie, de la paix.

L’expérience personnelle, la familiale, la groupale et l'historique nationale et internationale nous aident en cette nécessaire prise de conscience pour ne pas répéter des tristes événements, de nous trouver en situations conflictuels, d’attirer sur nous des issus négatifs. C'est bien l'histoire qui nous fait un compte rendu sur l'orgueil, l’égoïsme, l'immoralité des hommes, l'amour pour le pouvoir et l'argent avec ses conséquences dévastatrices sur la vie humaine et de la planète.


La violation aux principes éthiques attire comme conséquence médiate le malheur, ainsi que d'autres sanctions selon le principe désobéit. Suivant une analyse, on peut constater que les principes éthiques s'appuient en une ou plusieurs lois spirituelles ou religieuses, si vous souhaitez les appeler ainsi. Lorsque le principe éthique coïncide avec une loi (norme prescriptive juridique née d'une autorité légitime), on commet un crime conduisant à une sanction légale. Par tout ceci, l'importance d'une prise de conscience fondée sur l'accès 'a l’information et 'a l'éducation, 'a la divulgation et 'a la dénonciation, tous de devoirs citoyennes. L'homme est le produit de son éducation. 


Notes

(1) Les principes sont caractérisés par l'absoluité de leurs revendications, l'universalité de sa validité et de l' immutabilité de son contenu  (Garcia de Alba, Juan Manuel. Éthique professionnelle, pp 179-180).

(2) Traitement différencié, excluant et  restrictif fondé sur les mœurs, habitudes, coutumes, habillement, symbologie, style de vie, sens de l' appartenance, idiome, accent et croyances. 

(3) Couleur de la peau, traits physionomiques faciales, taille, poids, couleur de cheveux, couleur de yeux. 

(4) Boleso, Héctor Hugo. (2005). Protecciòn internacional de los derechos humanos. Revista Derecho y cambio social numero 04. Récupéré 11-03-16 http://www.derechoycambiosocial.com/revista004/CARATULA.htm



Bibliographie consulté

Ahlert, Alvori.( 2007). Ética y derechos humanos: principios educaioinales para una sociedad democràtica. Revista Polis. Récupéré 11-03-16 https://polis.revues.org/4663#authors

Dhondt, Urbain. (1961). Fondements d'une éthique sociale. Revue philosophique de Louvain. Récupéré 11-03-16 http://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1961_num_59_63_5086


Pastor-Palomar, Nuria. (2006). El principio de subsidiariedad y su incidencia en el respeto de los Derechos Fundamentales por la Uniòn Europea. Universidad de Navarra. Récupéré -03-16 http://dadun.unav.edu/bitstream/10171/23554/1/ADI_XXII_2006_14.pdf

Urbina Molfino, Francisco Javier. (2005). El principio de subsidiariedad,sus fundamentos y su funcion en la sociedad democrática.  `Revista de Derecho y de Humanidades. Récupéré 11-03-16 http://www.derechoyhumanidades.uchile.cl/index.php/RDH/article/download/17070/17796.



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